Pour le gaz, en zone urbaine cette énergie est très utilisée. Elle est beaucoup moins polluante que le fioul, et nécessite moins d’entretien (moins d’encrassements des brûleurs, des surfaces de chauffe et des conduits de fumées).
Avec cette énergie, du matériel très performant a été développé, notamment avec les chaudières à condensation et les brûleurs à pré-mélanges ou hémisphériques (d’un fonctionnement nettement plus silencieux qu’avec des brûleurs classiques à air pulsé)
A noter, le tarif régulé intitulé B2S (ou tarif réglementé) est maintenant arrêté. Pour les copropriétés (hors contrat en cours de fourniture du gaz par l’exploitant), il est important de changer de type d’approvisionnement, soit avec le fournisseur historique (GDF) soit avec un autre prestataire. L’entreprise d’exploitation en place peut aussi proposer la prise en charge de l’achat du gaz, avec un contrat d’engagement sur les consommations (P1, MTI, MCI…..)
Les choix régulièrement proposés dans ces tarifs « dérégulés » sont:
– Des tarifs fixe de 1 an à 3 ans, avec un pourcentage de baisse important sur le tarif régulé servant de référence actuel (B1). A chaque échéance, il est nécessaire de renégocier le contrat de fourniture d’énergie.
– Des tarifs indexés au tarif régulé encore en cours intitulé B1. L’engagement sur ce type d’indexation peut être plus long (jusqu’à 8 ans généralement), et peut sembler plus sécuritaire pour les copropriétés. Le pourcentage de baisse est moins important sur le tarif actuel, mais le montant de l’abonnement nettement plus faible. Ces prises de contrat sont à cumuler avec un engagement de l’entreprise d’exploitation, car si le prix est faible mais sans limite, la facture peut « s’envoler ».
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